jeudi, juin 22, 2006

Qui aime bien, chatîe bien

Mordu par son vif sens de la justice, il n'accpetera plus d'être défié.
La défaite est très obselète.
La moindre igratinure est un crime.
La peur le rend agréssif, mais contre qui?
L'amour propre et la fierté tueront en lui tout espoir
La confiance est une illusion
L'injustice ...
Il est pris entre son attachement et sa colère,
La douleur de se faire avoir ...
Il se perd entre lui et la réalité
son instinct lui dit qu'il a tort,
Ses larmes croisent son regard
La rage en lui détruit tout
Le sacrifice ...
Mais le pire c'est que pationnément, il se tue
Le soucis de mal juger
La folie d'échouer
L'espoir de se voir renaître
L'attente le stresse ...
Le désespoir, la désillusion.
La mort!

Merde, ça fait mal...